Description du campement :Le cœur du campement se situe au centre d'un bosquet à l'extérieur de Cottonwood. Il s'étend de part et d'autre de Red Oak, la grande route qui fait le lien avec le campement de The Car Park.
Depuis sa fondation, les cabanes ont évoluées vers des habitations en dur. Les travailleurs du bâtiments, que comptait alors le groupe des premiers survivants, ont veillé à ce que les travaux se déroulent rapidement et sans accroc, avec les moyens du bord.
On trouve donc, dans une clairière aménagée, des maisonnettes en tronc évoquant les repaires de trappeurs canadiens. L'intérieur se compose généralement d'une pièce unique, voire deux pour les plus vastes d'entre elles. On y vit en famille ou en collocation à deux ou trois tout au plus et selon les affinités. Le matériel utilisé pour la vie quotidienne a été récupéré tout au long des trois dernières années, dans les voitures, les habitations et les magasins abandonnés. Derrière chaque maison se trouvent des récupérateurs d'eau de pluie destinés à la consommation et l'hygiène. Les sanitaires se situent à l'extérieur du campement et sont très primitif, puisqu’il n'y a pas de système d'évacuation.
Une palissade entoure également le campement et ses demeures. Haute de deux à trois mètres, elle est simplement constituée d'une rangée de troncs plantés dans le sol. Des échafaudages permettent aux guetteur d'effectuer leur ronde à l'intérieur du campement tout en gardant un œil sur l'extérieur.
A la sortie du bosquet, à l'opposé de Cottonwood, des champs s'étendent jusqu'au bord du grand lac. The Grove a annexé l'équivalent de trois hectares pour la culture vivrière. On trouve donc deux hectares de blé et de maïs, l’hectare restant étant dédié à un potager.
Les terres agricoles adjacentes n'étant pas entretenues, la nature y a peu à peu repris ses droits. Certains en ont donc profité pour planter des arbres, tant et si bien qu'un verger fécond offrira bientôt ses fruits aux survivants dans les années à venir.
Les survivants ont également reconverti une vieille grange en abris pour l'élevage de lapins et de poules. Pour les plus téméraires, il y a également la pêche : une journée est nécessaire pour faire aller-retour jusqu'au lac.
Il faut toutefois relever que ces zones ne sont pas sûres. Dès que l'on sort du bosquet, le risque de croiser des monstres augmente. Cela dit la plus grande menace, pour les habitants de The Grove, réside dans les petits groupes de survivants isolés qui rôdent un peu partout dans la région. La périphérie de la ville étant moins dangereuse, il n'est pas rare de croiser des marginaux ou des bandes.
Les personnes bienveillantes se sont largement alliées à The Grove, depuis les trois ans que dure la catastrophe. Il ne reste donc, à errer dans la nature, que les individus les moins recommandables. Il s'agit bien souvent d'individualistes peu scrupuleux que la catastrophe aura rendu paranoïaque.
Ces derniers n'hésitent pas à piller les récoltes, voler les animaux et agresser les membres du groupe. Il convient donc de rester sur ses gardes, car même si les monstres sont rares en journée à The Grove, la menace existe bel et bien.
La Carte
